« DIY », voilà bien un mot que l’on retrouve partout. Magazines féminins, blogs, livres en librairie. Tout le monde parle du DIY. En anglais, cet acronyme siginifie : « do it yourself ». En français, cela peut se traduire par « Fais le toi-même ». C’est une notion assez simple qui peut finalement s’appliquer à de nombreux domaines d’activité. Mais depuis quelques décennies, ce concept de « faire soi-même », DIY donc, a grandement été accaparé par le milieu de la décoration, des loisirs créatifs et plus largement à tout ce qui touche de près ou de loin au bricolage. On fait le point sur cette tendance.
L’essor du DIY.
Le DIY a connu un essor fulgurant ces dernières années principalement grâce aux réseaux sociaux. En effet, avec la popularisation sur Youtube de vidéos appelées « tutoriels » a largement participer à son expansion. Le principe de ces vidéos est de pouvoir transmettre suffisament de connaissances à une personne novice afin qu’elle puisse ensuite être en mesure de résoudre sa problématique par elle-même. Aujourd’hui, il est presque possible de trouver un tutoriel pouvant répondre à n’importe quel besoin, dans n’importe quel domaine. Apprendre à jouer de la guitare, monter un meuble ou fabriquer un jouet pour un enfant, sont autant de thématiques diverses et variées qui peuvent faire l’objet d’un tuto vidéo. Par extension, le DIY qui est l’art de faire soi-même est donc nourri par tous ces contenus spécifiques disponibles sur Youtube, les blogs de passionnés, ou encore les livres spécialisés dans ce secteur. Les réseaux sociaux, comme Instagram, Facebook ou Pinterest, ont quant à eux renforcé ce phénomène par leur dimension de partage et de narcissisation. En effet, le DIY est grandement motivé par cette envie de montrer aux autres ce que l’on fait, ce que l’on est capable de faire, et cette envie de partager ses passions et compétences avec le plus grand nombre.
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